Mon parcours de magnétiseuse

Dois-je me présenter ? je crois que cela vaut la peine.

Je m'appelle Françoise Vignacourt

Cela fait plus de 25 ans que je dispense mon don de guérison.

 


Toute jeune, mon entourage avait compris très vite que je n'étais pas comme tout le monde.

A l'école, on m'appelait « La Sorcière ».

A 17 ans, un grave accident de la circulation me cloua pour de nombreuses années. Condamnée par la médecine à rester grabataire toute ma vie et ne jamais pouvoir avoir d'enfant.

Grâce à la rééducation et à une visite hebdomadaire auprès d'un vieux monsieur qui était magnétiseur à côté de Rouen, j'ai pu retrouver l'usage de mes membres. Huit ans après cet accident, il ne restait aucune séquelle.

Ce magnétiseur, a découvert en moi ce don de guérison que le ciel m'accorda à la naissance et ce pouvoir d'auto guérison que je mis en pratique aussitôt.

Quelques années après, Dieu me fit le plus beau cadeau de ma vie. Je mis au monde une jolie petite fille « Virginie », qui m'apporta toutes les satisfactions qu'une maman peut espérer de son enfant et encore à ce jour.

Tous les êtres humains naissent avec du magnétisme. Un minéral, un végétal, un animal possèdent également du magnétisme. Sans magnétisme, la vie n'existerait pas. Mais le « Don de Guérison », c'est autre chose. Ce n'est pas donné à tout le monde.

Lors d'une consultation chez une amie Astrologue, concernant mon thème astral, cette amie me révéla également que je possédais un don de guérison et la possibilité de pouvoir soulager les personnes ainsi que les animaux qui souffrent de divers maux.

Cette révélation m'avait en quelque sorte un peu bouleversée, car je n'y croyais pas trop. Pourquoi moi ? Je suis trop intègre, pour laisser espérer à des malades quelque chose qui n'existerait pas.

Ensuite, une opportunité me fit rencontrer un médecin parisien, qui était un grand radiesthésiste. Il me fit la même révélation que cette amie astrologue, et m'invita à commencer à employer mon don de guérison. A l'époque, je menais une vie professionnelle très active et je laissais de côté cette idée de « don de guérison ».

Quand soudainement en mai 1983, mon père ressenti de très fortes douleurs dans le ventre. Hospitalisé, le diagnostic tomba après un scanner. « Cancer du Pancréas ».

Le ciel me tomba sur la tête et la terre s'ouvrait sous mes pieds. Pour moi, c'était irréalisable, mon père ne pouvait pas mourir.

Je décidai donc, de contacter ce médecin parisien qui pratiquait la radiesthésie.

Je ne lui donnai aucune indication sur le diagnostic déjà établi. Je lui ai indiqué seulement que papa souffrait dans le ventre. Au bout de quelques minutes et après avoir consulté son pendule, le même verdict tomba. Il m'a confirmé que la tumeur cancéreuse se logeait dans la queue du pancréas. A mon grand étonnement, je m'entendais répéter le compte rendu du scanner.

Puis, il ajouta, en me regardant droit dans les yeux, « Françoise, considérez que le ciel vous adresse un coup de pied aux fesses, afin de vous poussez à magnétiser ».

Vous n'êtes pas obligée d'accepter, tout individu est libre de ses choix. Si vous acceptez, votre père vivra. Si vous refusez, dans un mois et demi voire deux mois votre père moura.

Une lourde responsabilité me tombait ainsi sur les épaules. Mais j'avais une telle rage à l'intérieur de moi, quelque chose me poussait ainsi et me disait de foncer. J'avais la sensation que quelque chose se passait en moi, j'aurais eu envie de hurler, j'avais l'impression que mon cœur allait éclater. A ce moment là, je savais que mon père allait vivre.

Je souhaite à tout individu de pouvoir ressentir cette relation privilégiée, un seul instant de sa vie, si bref soit-elle.

De retour à la maison, j'informais mon père de ces propos, ne lui cachant rien, aussi bien sur la gravité de son état et du temps imparti qui lui restait à vivre.

Je considérais que lui seul devait décider. Je ne voulais pas m'imposer à lui. Il me demanda de commencer aussitôt, sans perdre un seul instant.

J'étais très impressionnée à l'intérieur de moi, mais malgré tout, très confiante en cette force qui s'imposait à moi et en qui j'avais toute confiance.

J'ai commencé à imposer mes mains sur mon père le 1er Août 1983 et le prochain rendez-vous du scanner était prescrit pour le 6 septembre de cette même année.

Je me souviendrai toujours de ce jour. Après avoir passé le scanner, nous attendions dans la salle d'attente. Papa était allongé sur un brancard car il ne pouvait plus se tenir assis. Ayant perdu vingt cinq kilos en quarante jours, cet amaigrissement rapide lui avait fait perdre tous ses muscles.

J'étais assise dans un coin de la pièce, très calme, et très confiante sur le nouveau diagnostic.

Après avoir attendue très longtemps, la porte s'ouvrit enfin. Une grande silhouette, d'un homme en blouse blanche apparut, tenant une grande enveloppe sous le bras. C'était le médecin radiologue qui s'excusa de nous avoir fait patienter aussi longtemps. Il nous dit ne pas comprendre et avoir pris le temps d'analyser les différents clichés sous tous les angles. A son grand étonnement, la tumeur avait disparue. Je lui répliquai que je le savais.

Aujourd'hui, mon père va bientôt rentrer dans sa quatre vingt douzième année et vieillit doucement, tranquillement chez moi entouré des siens.

2001 - 83 ans - Cancer de la prostate
                         PSA (marqueur indiquant le volume prostatique) normal jusqu'à ce jour.

2003 - 85 ans - Hospitalisation d'urgence à Noël.

Diagnostic      - Cancer    
                       - de la vésicule biliaire

                       -   de la tête du pancréas
                       -   du cholédoque
                       -   et une tumeur de 6 cm au foie au hil

De nouveau, diagnostic pessimiste de la part des médecins, ne laissant aucun espoir.

Trois semaines après, mon père se portait bien et rentrait à la maison en marchant. Une radio montrait que les tumeurs étaient toujours existantes, mais elles étaient nécrosées. Au mois de Juin suivant, un scanner de contrôle fut prescrit. Ce dernier démontrait que les tumeurs avaient disparues et tout le bilan sanguin était  revenu dans les normes.

2006 - 88 ans - Opération de la carotide gauche. L'opération par elle-même se passa bien, mais au retour de l'hôpital, dès le lendemain matin :

                       -   grave infarctus
                       -   embolie pulmonaire
                       -   pneumonie
                       -   insuffisance rénale

Transporté par le SAMU, mon père se retrouva aux Soins Intensifs de Cardiologie. De nouveau, pronostics sur l'état de santé concernant mon père, complètement catastrophique. Mon jeune frère et moi-même sommes repartis de l'hôpital complètement atterrés.

J'avoue que je commençais à baisser les bras. Je finissais par accepter l'éventualité de la mort. Plusieurs cardiologues nous avaient affirmé qu'en raison de son âge, ni son cœur, ni son organisme, ne pourraient surmonter une telle pathologie.

Le soir, je me couchais, complètement fatiguée, me trouvant perdue, ahurie, désabusée, lasse de tout, la tête complètement vide, n'étant plus capable de réfléchir. Dans la nuit, au cours de mon sommeil, je me suis trouvée réveillée, secouée comme un prunier. Quelque chose me disait à l'intérieur de moi qu'il fallait que je me bouge, que je réagisse, que je n'avais pas le droit de baisser les bras. Je me mis à prier et je commençais à cet instant à travailler à distance. Les jours suivants, comme par enchantement, mon père refaisait surface au grand étonnement des médecins.

Quelques jours après, il était transporté dans le service de cardiologie. Mais pour les médecins, sont état de santé restait toujours sur le "fil du rasoir", pour reprendre l'expression qu'ils employaient.

Voyant qu'il n'avait pas de soins particuliers, hormis la prise quotidienne de médicaments, je formulais donc auprès du cardiologue qui suivait mon père, le désir de le ramener chez moi.

Je m'entendis dire, « mais vous n'y songez pas madame, votre père va mourir d'un moment à l'autre ». Je lui rétorquais aussitôt, « justement docteur, s'il doit mourir, j'aime autant que cela se passe à la maison entouré des siens ». Mais moi, je savais à cet instant qu'il allait vivre !!.

Une heure après, il était à la maison transporté par une ambulance.

Mais la bataille n'était pas finie. La carotide droite restait bouchée à 95% et il risquait d'un instant à l'autre de faire un accident vasculaire ce qui aurait entraîné la mort, ou le risque de rester paralyser et de perdre l'usage de la parole. Mon père, comme ma mère, furent des parents exceptionnellement bons. Ils nous ont entourés d'amour, ils étaient toujours présents dans toutes les difficultés rencontrées au cours de notre vie. Après consultation avec mon petit frère, nous décidâmes de prendre la décision de le faire opérer de la carotide droite. Il fallait se battre jusqu'au bout pour le sauver.

Donc, trois mois après l'épisode de la carotide gauche, et après avoir pris rendez-vous auprès du chirurgien qui l'avait opéré, nous avons reçu un refus catégorique. Ce dernier estimait que le danger était trop important. Nous ne lui en avons pas tenu rigueur, car médicalement parlant c'est son honnêteté de chirurgien qui parlait.

Mon médecin traitant qui est devenu un ami et en qui j'ai une grande confiance, un homme très dévoué à sa clientèle et possédant un diagnostic très sûr, me connaissant et me voyant très déterminée au sujet de la santé de mon père, me conseilla de poursuivre mes investigations.

Je prie donc rendez-vous auprès de mon cardiologue, un homme droit, qui ne mâche pas ses mots, que j'apprécie beaucoup car grâce a lui, je suis encore sur cette terre. Je lui soumis donc le cas de mon père. Sa première réaction a été de me déconseiller de poursuivre l'idée d'une opération. Trop dangereux me dit-il. Mais rien ni personne ne m'aurait fait changer d'avis, car je savais encore une fois à l'intérieur de moi que mon père allait sortir vainqueur de cette opération et qu'il allait vivre !

Je lui fis part de ma conviction et que c'était mon don qui me guidait. Bien sur, en tant que scientifique, il me rétorqua qu'il ne pouvait pas se baser sur ce genre d'élément, ce que j'acquiesçai.

Je lui posais alors la question suivante : Docteur, si c'était votre père qui se trouvait dans ce genre de situation, que feriez-vous ? Prendriez-vous le risque de le voir se paralyser et de perdre l'usage de la parole d'un moment à l'autre, sans tenter le tout pour le tout ?

Je respecte votre science, je respecte vos études et je sais que vous êtes un excellent technicien, mais en contre partie, je vous demande de respecter mon don même si vous n'y croyez pas.

Il décrocha alors le téléphone, en appelant lui-même le secrétariat d'un chirurgien d'une clinique parisienne, spécialisée en cardiologie. Ce dernier nous reçut dès le lendemain. Nous nous trouvions devant un homme agréable qui nous reçu avec gentillesse et étant tout à fait à l'écoute de ses patients. Bien sur, son hésitation fût grande, mais voyant ma détermination et lui tenant les mêmes propos tenus que la veille à mon cardiologue, il accepta de tenter l'opération, ne nous cachant pas que le risque était énorme et ne nous promettant rien. Alors, je lui ai dit que tout  allait bien se passer et que mon père avait encore plusieurs années à vivre. Il sourit en me regardant gentiment……...

Sept jours après, mon père était rentré à la maison et il refit surface très vite.

Depuis, il vieillit doucement, mais la vie lui paraissant un peu monotone, il s'est offert le luxe de faire plusieurs AVC (Accident Vasculaire Cérébral) avec paralysie. A chaque fois, il récupère tout son handicap dans la journée.

Je sais que je ne pourrai pas lui donner l'éternité sur cette terre, il ne dérange personne et je souhaite une seule chose, c'est que la mort lui soit douce afin qu'il rejoigne les deux femmes qu'il a tant aimé (sa mère et sa femme), ainsi que son fils : notre frère aîné qui nous manque énormément, mort dans un accident d'avion.

Voici un épisode de mon parcours en tant que magnétiseuse depuis vingt cinq ans. Bien sur, j'ai connu de beaux résultats, ainsi qu'avec des animaux, en consultation à mon cabinet où à distance par photo.

Mais il faut dire aussi que j'ai connu des échecs, aucune science n'est exacte à 100%. Seul Dieu possède la science infuse.

De donner du temps aux autres, accorder de l'écoute, et dispenser l'amour qui se trouve en vous, vous apporte beaucoup mais c'est aussi très épuisant.

J'ai deux autres passions, je suis entourée de huit petits chiens des «  Shih Tzu », adorables petits compagnons et cinq « chats Persans ». Tous avec des caractères très dociles et pacifiques.

Mon vétérinaire, qui est un homme bon et extrêmement gentil, très dévoué à sa clientèle, avec toujours une parole pour rassurer et que je connais depuis au moins trente cinq ans, qui connaît mon parcours entre autre avec mon père et mes petits animaux, que je soigne avec amour, me dit toujours « si un jour j'ai quelque chose de grave, c'est vers vous que je me dirigerai ». Je lui souhaite de ne jamais venir, qu'en dehors d'une visite amicale.

J'aime aussi l'Astrologie, science millénaire, qui a fait largement ses preuves. Elle nous permet de comprendre le pourquoi de notre passage sur cette terre et les épreuves qui nous y sont imposées. Bien entendu, je ne demande à personne d'adhérer à ma propre réflexion.

Entre autre, je vais me permettre de vous donner un conseil. Ne négligez jamais de consulter votre médecin traitant ou votre spécialiste. Nous avons une technologie à notre portée qui permet de détecter et de prévenir bien des choses et éviter des complications.

Nous autres, magnétiseuses et magnétiseurs, obtenons de beaux résultats en complément de la médecine où, là, ou la médecine échoue parfois.

Mais pour certaines pathologies, la chirurgie est indispensable. Devant une telle puissance, que nous trouvons en nous, il faut savoir rester très humble.

Ma règle d'or est :  ne jamais faire arrêter un traitement médical. Je ne suis pas médecin.

Par contre, le chômage étant en hausse depuis quelques années, je déplore l'arrivée en nombre de pseudos magnétiseuses et magnétiseurs. Des personnes sans scrupules qui font miroiter de soit disants dons, aussi bien en magnétisme qu'en voyance.

Je ne trouve pas cela très propre, de profiter de la misère et de la souffrance humaine pour soutirer de l'argent à autrui. A chacun sa conscience…. !!!.

Pour toute personne désireuse de me contacter afin de me soumettre un quelconque problème, sachez, que je ne pourrai jamais lui promettre un résultat positif. Par contre, je peux lui assurer le sérieux de mon travail et mon honnêteté en travaillant sur une personne physique, à mon cabinet, où sur des photos à distance, sur lesquelles j'ai obtenu de beaux résultats.

Des lettres de témoignages suivent.


Françoise.


12/02/2009
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